En ce début d’année, à chacun ses étrennes. A la bourse, on sabre le champagne, on récolte les bénéfices, on scrute déjà les futurs licenciements et la courbe ascendante du taux de profit qu’ils occasionnent, on échafaude les scenarii pour que l’argent aille à l’argent : en 6 jours, les patrons du CAC40 ont déjà gagné plus que leurs salariés en un an. Dans les foyers populaires, 1,8 million de personnes bénéficiaires du RSA vont se voir imposer 15 heures de travail gratuit sous peine de ne plus percevoir d’allocation.
Expression clé : économie
Jupiter est nu !
Il se prétendait dieu, maître des horloges, grand stratège, et on en passe…, Macron s’enferrant dans le déni nous a donné lors de son allocution télévisée, l’image peu louable d’un garçon arrogant se dédouanant dans une médiocre attitude en osant intégrer la gauche dans un front anti-républicain.
En finir avec la folle spirale de l’argent roi.
L’espace démocratique est désormais soumis aux exigences du capital, claironne sans ambages Macron sur un ton du travail accompli. L’intérêt général, l’intérêt du peuple, l’avenir du pays : il s’en lave les mains.
Liberté, égalité, gratuité !
En France, 37 villes ou agglomérations ont déjà rendu leurs transports publics totalement gratuits : Aubagne, Calais, Dunkerque, Libourne Niort, Gap, Porto- Vecchio, Puteaux… Dès janvier prochain, c’est Rodez et son agglomération qui prend le wagon de cette mesure. Une mesure écologiquement justifiée. Les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, dont plus d’un quart sont dues aux transports, nécessitent une gestion drastique pour être en phase ne serait–ce qu’avec l’accord de Paris sur le climat.
Les pantins …
Tout juste installé le gouvernement BARNIER montre déjà des signes de fébrilité : remontée de bretelles du premier ministre envers son ministre de l’économie Antoine Armand qui a eu l’outrecuidance de mécontenter Marine Le Pen en excluant le RN de l’arc républicain.
Par le petit bout de la lorgnette
Le journaliste de 20 minute qui couvrait le second meeting de Léon Deffontaines au gymnase JAPY à Paris qui a rassemblé 1500 personnes, a, semble-il, du mal à distinguer la ligne du PCF de celle de la France Insoumise, si ce n’est sur le nucléaire : « Si le PCF est le refuge de l’électorat de gauche qui veut du nucléaire –la différence de fond la plus notable-ce sera peut-être un peu court. » Vraiment ?
L’imposture nationale
« La propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir, et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. », dixit Georges Orwell. Cultiver le découragement, dévoyer la révolte, c’est à cela que s’adonnent les puissances d’argent.
Energie : il y a de l’électricité dans l’air…
L’accès à l’énergie est UN DROIT vital pour vivre décemment pour s’éclairer, cuisiner, se chauffer, se doucher. Ce n’est pas un luxe.
La roue du hamster…
Serions-nous condamnés à vivre comme un hamster tournant en rond dans sa cage, s’interroge le sénateur communiste Éric Bocquet, dans son livre « la dette à perpète ». Cette fameuse dette qui à l’instar d’une tempête de sable s’infiltre, s’incruste partout dans notre vie
« Salauds de pauvres »
Une tirade du film » la traversée de PARIS » de Claude Autan Lara qui a inspiré l’ancien porte-parole de l’Elysée Benjamin GRIVEAUX.
Il est vrai qu’à l’époque membre du PS, il en incarnait l’ambitieuse jeune garde. Le verbe haut dans son livre « Salauds de pauvres », il pourfendait les caricatures agitées par la droite sur les questions sociales
Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue (V Hugo).
Deux articles dans la presse dont un dans le Figaro, le 19/20 de France 3 qui lui consacre un sujet ; effectivement l’heure du tram-train est venue.
C’est la rentrée….
Une rentrée sociale et politique plombée par un vertigineux accroissement de la pauvreté et un déclassement accéléré d’une partie non négligeable de la « classe moyenne »
Jusqu’où, jusqu’à quand ?
Ferions preuve de catastrophisme dans la mesure où nous dénonçons l’incurie programmée de l’Etat ?
Austérité, rigueur, sobriété…
C’est le chant sémantique du serrage de ceinture.
Un chant que l’on nous instille insidieusement depuis plus de 40 ans.
Fabien Roussel : « J’assume défendre le parti du travail. »
En déclarant préférer le travail au chômage, je n’imaginais pas provoquer pareille polémique.
Osons la recherche…
Dans notre « Expressions » du 18 janvier 2020, nous disions tout ce que nous pensions de l’opération immobilière imaginée par Jacques Mangon dans la zone de Cassy Viney, avec la transformation du Domaine Du Bourdieu en parc pour valoriser cette sulfureuse opération.
Sécuriser l’emploi et la formation, un projet d’avenir.
L’emploi reste la plus grande préoccupation des Français dont la double crise économique et sanitaire fait monter les angoisses. Les grands groupes, la finance y voient une aubaine.
Nom d’un Bourdieu
Nous ne savions pas que Saint Médard disposait d’un chevalier blanc en la personne de Jacques Mangon qui, dit-il, aurait sauvé le parc du Bourdieu, rien que ça !!!! C’est curieux cette multiplication de sauveurs dans ce monde libéral : Macron, Philippe, Gosn…..etc… Le...
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