A compter de ce mois-ci, 10 millions de de français, soit 25% des 40 millions d’automobilistes, vont être impactés par l’entrée en vigueur des Zones à Faible Émissions.
Expression clé : pouvoir d’achat
Il pleut toujours où c’est mouillé.
En ce début d’année, à chacun ses étrennes. A la bourse, on sabre le champagne, on récolte les bénéfices, on scrute déjà les futurs licenciements et la courbe ascendante du taux de profit qu’ils occasionnent, on échafaude les scenarii pour que l’argent aille à l’argent : en 6 jours, les patrons du CAC40 ont déjà gagné plus que leurs salariés en un an. Dans les foyers populaires, 1,8 million de personnes bénéficiaires du RSA vont se voir imposer 15 heures de travail gratuit sous peine de ne plus percevoir d’allocation.
Jupiter est nu !
Il se prétendait dieu, maître des horloges, grand stratège, et on en passe…, Macron s’enferrant dans le déni nous a donné lors de son allocution télévisée, l’image peu louable d’un garçon arrogant se dédouanant dans une médiocre attitude en osant intégrer la gauche dans un front anti-républicain.
En finir avec la folle spirale de l’argent roi.
L’espace démocratique est désormais soumis aux exigences du capital, claironne sans ambages Macron sur un ton du travail accompli. L’intérêt général, l’intérêt du peuple, l’avenir du pays : il s’en lave les mains.
Liberté, égalité, gratuité !
En France, 37 villes ou agglomérations ont déjà rendu leurs transports publics totalement gratuits : Aubagne, Calais, Dunkerque, Libourne Niort, Gap, Porto- Vecchio, Puteaux… Dès janvier prochain, c’est Rodez et son agglomération qui prend le wagon de cette mesure. Une mesure écologiquement justifiée. Les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, dont plus d’un quart sont dues aux transports, nécessitent une gestion drastique pour être en phase ne serait–ce qu’avec l’accord de Paris sur le climat.
Les pantins …
Tout juste installé le gouvernement BARNIER montre déjà des signes de fébrilité : remontée de bretelles du premier ministre envers son ministre de l’économie Antoine Armand qui a eu l’outrecuidance de mécontenter Marine Le Pen en excluant le RN de l’arc républicain.
L’imposture nationale
« La propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir, et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. », dixit Georges Orwell. Cultiver le découragement, dévoyer la révolte, c’est à cela que s’adonnent les puissances d’argent.
Energie : il y a de l’électricité dans l’air…
L’accès à l’énergie est UN DROIT vital pour vivre décemment pour s’éclairer, cuisiner, se chauffer, se doucher. Ce n’est pas un luxe.
Du serment d’Hippocrate au serment d’hypocrite…
Le succès du centre communal de santé de St Médard en Jalles ne se dément pas, preuve s’il en est d’une réponse adaptée à notre époque, aux besoins des populations, au point de susciter l’intérêt de plusieurs communes (Eysines, Lormont, Mios, Bassens, Saint-Seurin sur l’Isle), et de faire des émules.
« Salauds de pauvres »
Une tirade du film » la traversée de PARIS » de Claude Autan Lara qui a inspiré l’ancien porte-parole de l’Elysée Benjamin GRIVEAUX.
Il est vrai qu’à l’époque membre du PS, il en incarnait l’ambitieuse jeune garde. Le verbe haut dans son livre « Salauds de pauvres », il pourfendait les caricatures agitées par la droite sur les questions sociales
Le choix du bon sens.
Il est des années dont nous sommes pressés d’en voir la fin, et avouons-le la terne année 2023 en est le symbole. Une année où rien ne nous aura été épargné : la guerre, le réchauffement climatique, la réforme des retraites, les attentats, la vie chère, l’inflation, la loi immigration, la haine comme projet politique.
Trouver la lumière…
Le capitalisme est un système à bout de souffle …Il conduit à un arrêt de la croissance, une explosion des inégalités. Un repli sur soi, une perte de sens collectif. Mais je suis convaincu qu’on peut y trouver la lumière…
C’est la rentrée….
Une rentrée sociale et politique plombée par un vertigineux accroissement de la pauvreté et un déclassement accéléré d’une partie non négligeable de la « classe moyenne »
Jusqu’où, jusqu’à quand ?
Ferions preuve de catastrophisme dans la mesure où nous dénonçons l’incurie programmée de l’Etat ?
Faites un test PC-F
« Je veux qu’il n’y ait si pauvre paysan en mon royaume qu’il n’ait tous les dimanches sa poule au pot. »(Henri IV, roi de France).
Les Élus
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